Le guide complet pour détecter de façon méthodique et efficace en foret
Il est tout à fait possible de faire de la détection de métaux dans les bois et forets française sous l’unique condition d’avoir l’autorisation du propriétaire. Détecter en foret est très plaisant. Cela donne une ambiance très particulière de solitude et de calme. C’est d’ailleurs ce que rechercher les détectoristes. Détecter dans cet endroit n’est pas toujours simple et demande un peu de méthode pour rester efficace.
Cet article vous donnent toutes les clés pour que cette expérience reste intéressante et plaisante.
Résumé de cette page :
- La détection de métaux en forêt est permise en France avec l’autorisation du propriétaire, qu’il soit privé ou domaniale (l’ONF, bien que ce dernier ne donne d’issues favorables).
- Les objets trouvés en forêt sont généralement mieux conservés que ceux des champs, même si la quantité de trouvailles peut être moindre.
- Les zones de prospection les plus intéressantes sont les chemins, le pied des vieux arbres, les points hauts et les abords des points d’eau.
- Le matériel adapté en forêt comprend un détecteur basse fréquence (voir multifréquence orienté sur des fréquences basses), un disque elliptique, un pinpointer et une pelle performante pour affronter les sols végétalisés.
- La préparation est importante en forêt : ayez de l’eau, des bottes, un téléphone chargé, des gants et restez discret pour une détection sûre et agréable.
A-t-on le droit d’utiliser un détecteur de métaux dans les forets en France ?
Détecter dans des bois et forêts domaniaux
Cependant, ces demandes sont quasiment toujours refusées. En effet, la détection de loisir est strictement encadrée par le Code du Patrimoine, notamment son article L542-1, qui stipule que nul ne peut utiliser du matériel permettant la détection d’objets métalliques à l’effet de recherches de monuments et d’objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art ou l’archéologie, sans avoir, au préalable, obtenu une autorisation administrative.
Cette autorisation est délivrée par la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles), qui la refuse quasi systématiquement pour une pratique de loisir afin de protéger le patrimoine archéologique (hors cadre spécifique des zones forestières).
En cas de contrôle, vous pourriez recevoir un simple avertissement verbal ou, dans le pire des cas, faire face à une plainte officielle. Cela peut entraîner une fouille à domicile et la confiscation de votre matériel.

Si vous souhaitez tout de même obtenir une autorisation, adressez-vous à l’Office National des Forêts (ONF) ou, si le terrain appartient à la commune, directement à la mairie. Les demandes auprès des communes ont généralement plus de chances d’être acceptées.
Consultez le portail en ligne cadastre.gouv.fr pour identifier la parcelle et son propriétaire, ce qui vous permettra de maximiser vos chances de succès pour une demande en terrain privé.
Détecter dans des bois et forêts privés
À l’inverse des zones domaniales, bon nombre de bois et forêts appartiennent à des propriétaires privés au même titre que les champs de culture. Pour pouvoir y prospecter, il suffit de se renseigner sur le nom du propriétaire et de lui demander l’autorisation d’y promener son détecteur de métaux.
Pourquoi détecter dans les bois et foret ? Quel intérêt ?
Selon le type de terrain que vous prospectez, vous devez adapter votre méthode et votre matériel. La nature et l’état des objets exhumés diffèrent selon les sols. Par exemple, dans les champs, les découvertes sont potentiellement nombreuses, car ces terres sont souvent cultivées depuis l’Antiquité, accumulant les pertes au fil du temps.
Cependant, l’usage d’engrais et les outils agricoles peuvent endommager les trouvailles. Creuser dans un champ retourné reste plus facile que sur des terrains denses comme les chemins compactés ou les zones envahies de ronces et racines. Ainsi, on oppose souvent quantité et qualité entre champs et forêts.

En forêt, les objets sont généralement mieux conservés, à condition de reconnaître la nature du sol. Les terrains acides (pH inférieur à 7), typiques de certaines régions comme le Massif Armoricain ou les Vosges avec leurs sols granitiques riches en bruyères, fougères ou pins, abîment les métaux comme le bronze et le cuivre, les réduisant parfois à l’état de savonnettes.
Apprendre à identifier les plantes indicatrices de terrains acides est utile, tout comme reconnaître les sols calcaires, souvent neutres ou basiques, où la décomposition organique est plus rapide.
L’activité humaine en forêt est moindre comparée aux zones agricoles, à l’exception des anciens essarts (zones de coupe ou cueillette). Ainsi, le potentiel de trouvailles est souvent réduit, les terres agricoles étant enrichies par les déchets métalliques liés aux activités rurales.
Les principaux lieux à prospecter en forêt se situent le long des chemins ou près des arbres remarquables, bien que ces endroits soient souvent déjà sondés. Certains chemins sont désormais remblayés, compliquant leur exploration.
Face aux déchets, notamment les douilles de chasse, soyez attentif. Une zone très polluée n’est pas forcément mauvaise : si les déchets sont en surface, il est possible qu’elle n’ait jamais été correctement prospectée.
Cependant, une absence totale de trouvailles métalliques sur plusieurs mètres peut indiquer une zone déjà fouillée. Les douilles de chasse, de tailles et d’alliages variés, rendent la discrimination complexe. Évitez de « notcher » les signaux correspondant à des cartouches, au risque de manquer des cibles intéressantes. Malgré ses contraintes, la détection en forêt réserve souvent des découvertes exceptionnelles.
Quels types de trouvailles fait-on en foret ?
En forêt, les gros « ferreux » comme serpettes, haches et fers à cheval témoignent des activités sylvicoles et du passage des montures. Ces zones, bien que parfois désertes en apparence, recèlent souvent des déchets et douilles, preuve d’une occupation humaine passée et donc d’un potentiel de trouvailles.

Les forêts de Gaule, appréciées pour leur étendue par les Romains, furent décrites par Jules César comme la « Gaule chevelue » dans son célèbre ouvrage De Bello Gallico (Commentaires sur la Guerre des Gaules), rédigé entre 58 et 51 avant J.C.. Les premières voies romaines furent souvent des routes forestières. Après les invasions, Francs et barbares s’installèrent dans ces régions boisées, idéales pour nourrir leur bétail, principalement des porcins.
Jusqu’au XIIᵉ siècle, les villes émergentes portaient souvent le nom des forêts environnantes, comme Saint-Germain-en-Laye, qui doit son appellation à ces bois. À partir du XIIIᵉ siècle, le processus s’inversa : les forêts prirent le nom des villes, comme Fontainebleau
Ces lieux étaient prisés par la noblesse et la bourgeoisie, particulièrement pour la chasse, augmentant vos chances de dénicher des pièces en or ou en argent. Fontainebleau, forêt royale dès le XIᵉ siècle, fut aménagée par François Ier pour ses chasses et par Louis XIV qui y fit tracer de nouvelles routes.
C’est un exemple parmi d’autres, comme la Forêt de Compiègne, autre haut lieu de la vénerie royale et témoin d’événements majeurs de l’Histoire de France.
En 1842, Claude François Denecourt y traça les premiers sentiers pour le tourisme. Dès 1849, l’arrivée du chemin de fer facilita les visites, popularisant les pique-niques sous ses grands arbres, dont les vestiges (comme des couverts) peuvent encore être retrouvés.
Enfin, boutons civils et militaires ou restes de conflits abondent dans les forêts, qui ont servi de refuges pendant les guerres et invasions, illustrant leur riche lien avec l’histoire et les découvertes potentielles.

Comment trouver une bonne zone boisée pour y prospecter ?
La détection de métaux récréatifs se fait au hasard. Au-delà de votre autorisation à obtenir, il n’y a qu’une chose qu’il faut vérifier pour pouvoir prospecter dans une zone forestière, c’est qu’il soit accessible. On entend “accessible” le fait qu’elle soit suffisamment propre et entretenue pour pouvoir y circuler et que le sol soit suffisamment dégagé entre les arbres pour que votre disque de détecteur soit au plus proche du sol.
Donc si le bois est juste un amas de ronces impénétrables, ne perdez pas votre temps. C’est pourquoi cette prospection ne peut se faire qu’en se rendant sur place.
Si vous trouvez une bonne zone, sachez que les trouvailles sont moins importantes que dans un champ en général. Mais elles sont de bien meilleures qualités, dans le sens que les monnaies subissent moins les effets du temps, des produits chimiques et autres engins mécaniques, contrairement aux champs de cultures. Le relief des monnaies sera mieux conservé.
Comment détecter dans un bois ou une foret et où trouver des trouvailles ?
Proche des chemins
Les chemins sont un excellent endroit de départ pour détecter les métaux dans les bois. Vous pouvez utiliser votre détecteur sur les côtés du chemin où ils rencontrent les premiers feuillages et herbages. Les promeneurs suivent ces chemins et peuvent y perdre le contenu de leurs poches.
Au pied des vieux arbres

Passer votre disque de détecteur au pied des arbres anciens peut s’avérer payant. Ces arbres massifs, à gros troncs, sont souvent des témoins du passé. Ils servaient de repères ou de lieux de repos pour les travailleurs forestiers, qui pouvaient y perdre une alliance ou un objet rangé dans leur poche ou leur bourse pour éviter de l’abîmer.
Les abords des routes, chemins et champs offrent souvent plus de trouvailles, car les forêts étaient autrefois perçues comme dangereuses, propices à l’égarement et aux mauvaises aventures, renforcées par les légendes de l’époque. La chasse, la coupe de bois et la cueillette s’effectuaient généralement dans des zones bien connues et accessibles.
Toutefois, les forêts d’aujourd’hui ont bien changé comparées à celles d’autrefois. Une approche différente consiste à explorer des zones éloignées des chemins forestiers, évitant ainsi les sites déjà prospectés. Bien que les découvertes y soient peut-être moins nombreuses, vous aurez de fortes chances d’être le premier à explorer ces lieux, augmentant ainsi vos probabilités de trouvailles inédites.
Les points en hauteur
Une dernière astuce est de rechercher des zones vallonnées dans le bois ou la forêt. Car dans le passé il y a eu des batailles partout même en forêt. Pendant l’époque médiévale ou tout autre époque historique, les batailles étaient à la fois synonyme de pillage, de trésor et parfois aussi de mort.
Les guerriers portaient sur eux leur butin. Afin de ne pas être gênés au combat, ces derniers les enterraient dans des endroits où ils étaient en sécurité. Dans ces forêts vallonnées, les zones de combat étaient souvent sur un point haut, lieu stratégique pour prendre le dessus sur l’ennemi.
Les butins se cachaient plutôt au pied des vallons. Si le guerrier revenait sain, sauf et victorieux, il pouvait alors revenir déterrer son trésor. Mais dans le cas contraire, ce trésor se trouve toujours là. À vous de bien prospecter aux creux des vallons pour vérifier cette théorie.
Moins c’est plat, mieux c’est
Les bois et forets étaient des endroits où se déroulaient certains conflits locaux. Un historien m’a raconté un jour que lorsqu’une bataille ou un conflit avait lieu dans une foret assez vallonnée, les soldats enterraient leur bourse ou butin, avant le combat, au pied des collines.
Les combats avaient souvent lieu sur les flancs ou au sommet des collines. Se le soldat revenait en vie de la bataille, il revenait le déterrer pour continuer son chemin. Dans le cas contraire …… un prospecteur le sauvait pour perpétuer son histoire.
À proximité des points d’eau
Les points d’eau sont toujours de bonnes zones, surtout si elles sont anciennes. L’eau, c’est la vie ! Un bon endroit pour s’y reposer, voire un lieu de pèlerinage. Et donc un bon endroit pour perdre ou laisser des choses. IL vaut tout de même mieux que ce point d’eau soit un ruisseau ou tout simplement de l’eau courante plutôt qu’une mare ou un lac.
Car un ruisseau est plus susceptible d’avoir toujours été là alors qu’un lac peut avoir été un marécage ou encore une zone artificielle creusée par l’homme moderne.
Prospectez avec méthode en quadrillant la zone
Même si cela peut être plus difficile que dans un champ, il faut essayer de ratisser le maximum de surface avec son détecteur de métaux. Le but est d’éviter de louper des zones surtout si elles sont accessibles. Servez-vous des arbres pour marquer votre zone à prospecter.
Sachez que vous pouvez également utiliser des applications de géolocalisation pour suivre et enregistrer vos déplacements. Le quadrillage de la zone à prospecter est le meilleur moyen de ne rien louper.
Quel type de matériel de détection utiliser ?
Il vous faudra 2 types de matériel pour prospecter en forêt. Du matériel de détection et tout le nécessaire pour prospecter en toute sécurité.

Quoi amener avec soi ?
La forêt est un milieu souvent plus hostile que les champs, exigeant une bonne préparation pour éviter tout incident.
- De l’eau : Il est primordial d’emporter de quoi s’hydrater, surtout en été où vous passerez des heures dans des zones isolées. La chaleur et la marche intense rendent l’hydratation indispensable.
- Des bottes robustes : Une bonne paire de bottes protège vos pieds des cailloux, ronces et insectes tout en assurant confort et sécurité pour de longues marches.
- Un téléphone portable chargé : Indispensable en cas d’accident ou de perte d’orientation. Avec un GPS et une couverture réseau généralement suffisante, vous pourrez retrouver votre chemin ou appeler à l’aide si nécessaire.
- Un répulsif à insectes : En été, les forêts regorgent de moustiques et autres insectes attirés par la fraîcheur. Un répulsif vous évitera d’être leur cible.
- Des gants : Indispensables pour creuser entre des racines, traverser des souches ou éviter les ronces et échardes. Ils protègent également des piqûres d’insectes.
- Une pelle solide : Une pelle effilée et dentée est idéale pour creuser dans les sols forestiers, souvent encombrés de racines et couverts d’humus.
Le matériel de détection à utiliser en foret
Détecter dans une forêt ne demande pas le même type de détecteur que dans un champ ou une plage de sable fin.
Le détecteur
Pour prospecter efficacement en forêt, optez pour un détecteur puissant et basse fréquence (5 à 12 kHz). Ce type d’appareil détecte profondément dans le sol, bien que plus sensible aux perturbations électromagnétiques et à la pollution métallique. Heureusement, ces contraintes sont rares en forêt, où le sol est souvent propre et peu minéralisé.
Contrairement aux champs, les sols forestiers ne sont pas retournés par des machines agricoles, ce qui limite la minéralisation et préserve les objets à des profondeurs importantes. De plus, les déchets métalliques modernes y sont rares, et les perturbations liées aux clôtures électriques ou câbles haute tension quasi inexistantes.
En forêt, la profondeur des ondes est primordiale, car les objets enfouis se trouvent souvent sous une épaisse couche d’humus. Voici quelques détecteurs adaptés :
- Les Xterra cadencé sur des fréquences moyennes sont idéales pour ce type de terrain
- Les modèles Equinox de Minelab (comme le 800 ou le 900) utilisés en mode basse fréquence
- Les Vanquish ou Xfind en mode basse fréquence
- Les détecteurs multifréquences comme le Nokta Legend ou les modèles de la gamme Score

Le disque
Le choix du disque est aussi crucial que celui du détecteur. En forêt, un grand disque (plus de 35 cm) est peu pratique, car il est vite bloqué par les branchages et la végétation dense. Pour une prospection efficace, privilégiez un disque petit mais puissant.
Un disque compact vous permet d’explorer les moindres recoins et de prospecter sous les broussailles. Toutefois, il doit aussi garantir une bonne profondeur. La solution idéale est une bobine elliptique : sa forme étroite facilite l’accès dans les zones difficiles, tandis que son design allongé en double D permet une détection en profondeur.
Quelques exemples adaptés :
- COILTEK ELLIPTIQUE 36×23 cm
- NEL Sharpshooter
- SEF WSS 25×12 cm
Ces modèles, ou d’autres similaires aux caractéristiques mentionnées, sont parfaitement adaptés aux terrains forestiers.
Le pinpointer
En forêt, un pinpointer est essentiel. Contrairement aux champs, où les trouvailles ressortent plus facilement, les objets en forêt se dissimulent dans l’humus, les feuilles et les branches, rendant leur localisation compliquée. La majorité des découvertes sont ainsi camouflées par le sol et la végétation.
Avec un pinpointer, vous localisez rapidement vos trouvailles. Plus besoin de passer des heures à détecter les racines ou à déplacer l’humus sous votre disque : cet outil vous indique précisément l’emplacement de l’objet.
Une bonne pelle
Pour creuser, optez pour une pelle dentelée et effilée, idéale pour découper racines et bois morts dans l’humus. Un couteau peut également être pratique pour les zones restreintes, comme le pied d’un arbre. Enfin, portez des gants robustes pour éviter éraflures et blessures, surtout lorsque vous traversez des ronces ou manipulez des outils.
Quelques Conseils pour finir

Pour maximiser vos trouvailles, utilisez un niveau de discrimination bas ou travaillez en « tous métaux » si votre détecteur le permet. Cela vous permettra de gagner en profondeur et de traverser efficacement la couche d’humus. Explorez les zones éloignées des chemins battus, mais évitez de détecter sur les chemins ou parkings les week-ends pour rester discret.
Privilégiez les bords de chemins plutôt que leur centre, surtout si ces derniers sont remblayés. Aux croisements, bien que souvent pollués, la persévérance peut être payante. Évitez les zones où des arbres ont été coupés, souvent encombrées de déchets.
Les sols acides peuvent dégrader les objets, à l’exception des pièces en or ou argent. Pour creuser près des racines, utilisez une pelle avec pic ou un piochon, mais prenez soin de ne pas abîmer la flore. Abstenez-vous de creuser directement au pied des arbres et respectez les zones protégées.
En forêt, privilégiez des détecteurs basse fréquence (5-12 kHz) pour leur puissance. Utilisez un casque pour respecter les zones de silence et minimiser les nuisances sonores.
La détection en forêt exige de la patience, mais elle peut être source de grandes satisfactions. Les trouvailles y sont souvent bien conservées, loin des perturbations agricoles. Restez persévérant malgré les nombreuses douilles de chasse, et profitez du calme pour détecter en toute tranquillité, à condition de rester discret et respectueux de l’environnement.






quels sont les zones à prospecter en ile de france
Pour connaitre les zones forestières détectables, il faut rechercher les forets privés (et non les forets domaniales). Et c’est informations sont dans le cadastre de votre ville.
Bonjour. j’ai lu un article sur le site de francedetection qui explique que le l’ORX est un bon détecteur pour la foret. Ca m’étonne un peu car l’ORX est un détecteur haute fréquence. Vous en pensez quoi ?
Bonjour, vous avez entièrement raison. L’ORX n’est pas du tout adapté pour la foret. En foret, on cherche à détecter en profondeur justement car la terre est très peu travaillé, voire pas du tout, et avec les couches d’humus, les objets sont plus en profondeur. Utiliser un ORX est de très loin une bonne idée. Il vaut mieux utiliser un basse fréquence ou un multi fréquence mais en l’utilisant en mono fréquence entre 5 et 10 kHz. L’ORX commence à 13 et peut aller jusqu’à 60 kHz.
Le X35 de l’ORX commence à moins de 4KHZ ce qui en fait un détecteur tout à fait adapté aux milieux forestiers.. n’est ce pas? 🙂
D’un point de vu fréquence, oui ça colle. Mais l’ORX est très loin d’être reconnu comme un monstre de puissance, étant une version bridé du Deus, je m’orienterait plus vers ça si je voulais absolument avoir du XP.